Pour amateur de ruine et de vieilles carcasses :), chemin sans difficultés, bien suivre la trace, et se frayer un chemin parmi le maquis sur les derniers mètres Zholhorhan, rédigé le 12 juin 2024

le village en ruine est beau. Y arriver c'est autre chose. Apres 100 m agréables, le tracé devient glauque : hangar rouillé, utilitaire abandonné à coté, plus loin véritable décharge : roues de secours, pneus, machine à laver, frigidaire, carcasse de voiture, détritus... le sentier amorce une descente et on tombe sur une carcasse de voiture, plus loin une carcasse entière de vache... . Puis une maison en ruine avec en face un horrible et vieux conteneur... le sentier remonte. Il est peu agréable dans des pierres. La végétation est heureusement belle : cistes, bruyères, arbousiers, genets, lavande... laurier-tin. On arrive à une sorte de col. Il faut prendre à droite. A partir de là j'ai rajouté des cairns car le sentier très étroit n'est pas évident car mangé par le haut maquis épais et les arbustes . Après avoir traversé ce passage délicat on arrive sur les ruines. Rien à dire cela vaut le coup. Ce qui impressionne c'est la blancheur des pierres. une rando sympa, si le sentier pouvait être nettoyé...Philippe20, rédigé le 14 mai 2023

Marche facile à découvrir, à 2 pas de Bastia. L'arrivée sur le point haut du site se fait à travers une végétation haute et dense sur quelques mètres. Mériterait un petit démaquisage d'entretien. Quelques déchets qui n'ont rien à faire là le long du chemin. Une action de nettoyage serait nécessaire. Merci pour cette découverte.Chris2b, rédigé le 08 janvier 2023

Jolie vue sur Bastia, Biguglia et les îles, depuis le casteddu. Village assez impressionnant par sa taille.Elo2b, rédigé le 07 janvier 2023

Magnifique vue, promenade facile Karynka, rédigé le 28 decembre 2022

Pas super bien balisée et nettoyée car super vue sur bastia de la citadelle jusqu'au fond de la marana..Vale2b, rédigé le 19 avril 2021

Belle randonnée. Par contre absence de marquage. Merci de prendre soin des kernes
Jean paul poggionovo, rédigé le 24 mars 2019